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Notes

02-04.08.13

Catégorie : facilités nocturnes

 

 

La peur que j'ai d'un tabou sur nous. 

 

[...]

 

[...] Il devient évident que le corps a un affect. [...]

 

[...]

 

[...] Je me fais l'effet d'être l'éléphant dans le magasin de porcelaine (le mauvais zèbre de ton histoire). 

 

[...]

 

La rose trémière

pousse droit debout

et la vie derrière

est à nous

 

Si la peau qui passe

perce nos remblais

la pousse dépasse

le regret

 

La rose trémière

grandit trop avant

et m'échappe amère

c'est le vent

 

[...]

 

Je m'accroche trop à l'absurde ; paradoxalement, puisque c'est justement le terrain du lâcher-prise le plus volontaire. C'était donc ce pour quoi j'ai laissé la destinée et, surtout, plus proches, les constantes dans quoi me retrouver et retrouver les autres ? Rien ne se ressemble, à quoi je réponds par l'abandon méthodique des faux-semblants. Alors, quoi ? Riant à pleine gorge de l'invraisemblable et du hasard, au fond je m'aveugle, je me grise de vanité ? Serait-il pas temps de voir la permanence autrement, et la logique, et tous les liens ?

 

Au fond, la question est toujours la même, elle se systématise seulement : quoi faire de la Tête ?

 

 



05/08/2013
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